Portbail, et la Biscuiterie Burnouf à Sortosville en Beaumont.

Bonjour,

On a profité d'une journée maussade pour visiter Portbail, et la fameuse biscuiterie Burnouf à Sortorville en Beaumont.

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Petite promenade sur le port de Portbail.

Le pont aux XIII Arches est situé au cœur de Portbail. Construit aux abords de l’église, il permet de relier le secteur de la plage à celui du bourg, naturellement séparé par un havre.

Neire Maôve (« mouette noire », en patois normand) est une représentante de la catégorie des grandes goélettes.

Le bateau, construit à l’initiative de l’AVGCI (Association Vieux Gréements en Côte des Isles) à été redessiné par l’architecte naval de Jersey Alan Buchanan. Le chantier de constrution, sur le port de Barneville-Carteret, commence en 1991.

La mise à l’eau a lieu le 4 juillet 1992. Neire Maôve est gréée en goélette, avec deux voiles auriques et un foc amuré sur un long bout-dehors. 

L'église Notre-Dame de Portbail, classée monument historique, se distingue par son clocher fortifié couronné de créneaux et de mâchicoulis du XI^ème siècle, vestige de la guerre de Cent Ans.

Cet édifice religieux occuperait l'emplacement d'un ensemble monastique du VIII^ème siècle, qui dépendait de l'abbaye de Saint-Wandrille.

Eglise désacralisée, actuellement lieu d'expositions et de concert d'avril à octobre.

Autrefois, l'église Saint-Martin (fermée) était l'église paroissiale du Gouey jusqu'en 1818 date de la fusion des deux paroisses du Gouey et de Portbail.

Dans la nuit du 16 au 17 juin 1944, l'aviation alliée bombarde Portbail, plusieurs maisons sont détruites et l'église Saint-Martin est incendiée.

C'est seulement le 15 septembre 1956 que l'église, restaurée, est rendue au culte.

Le clocher, avec sa toiture à bâtière et sa fenêtre en lancette, est daté du XIV^ème ou du XV^ème siècle.

Une vraie petite rue à l’ancienne avec des façades de boutiques comme elles étaient avant-guerre.

Nous admirons ce semblant de village par l’allée qui longe les boutiques pour découvrir ce décor d’antan.

Des façades d’époque retravaillées par des artisans locaux qui donnent de la magie au lieu. Ici on voit inscrit « L’heure de manger un biscuit Burnouf », ou bien « Epicerie, Comptoir pour les gourmands » écrit avec les lettrines d’époque.

Parce que l’ancien ne se démodera jamais et qu’il rappelle à tous de bons souvenirs...

A l'intérieur, c'est profusion de friandises, les boîtes de petits fours financiers, d'assortiment dégustation ou bien encore les cookies aux éclats de caramel d'Isigny, au beurre salé bien évidemment.

Les images en disent plus qu'un long discours...

A suivre...Les parapluies de Cherbourg.