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13 Novembre 2019
Bonjour,
Notre programme du jour :
Mardi 12 novembre 2019.
Animateur Gérard (RSP).
Lieu/Thème prévu : Boucle de Verneuil, Vernouillet, La Tuilerie, Brézolles, Chapet... - 23 km prévus.
Pique-nique.
Rendez-vous : Gare Saint-Lazare direction Mantes-la-Jolie pour Vernouillet-Verneuil.
Retour : Gare de Vernouillet-Verneuil pour Paris.
Cliquez sur les flèches de droite ou de gauche pour voir les diaporamas et sur les images fixes pour les voir en grand format.
Le nom de Vernouillet vient du gaulois verno et ialos, « la petite clairière des vernes », c’est-à-dire les aulnes.
Vernouillet et Verneuil-sur-Seine étaient autrefois plantées d’aulnes, ce qui explique que nous retrouvions la racine du mot dans les noms de ces communes.
Nous n'avons pas pu rentrer dans l'église, il y avait un office.
Eglise Saint Etienne de Vernouillet, des XII et XIIIèmes siècles, restaurée au XIXème, est dominée par un clocher carré.
Le clocher, les vestiges de la nef primitive, le transept sud sont romans, du début ou du milieu du XIIème siècle.
On aime beaucoup la devanture de ce vieux café-tabac, en angle de rue, arborant un drapeau français.
Les espaces naturels et agricoles participent à l’attractivité de Vernouillet.
Un tiers de la surface communale est ainsi en zone agricole protégée. Plusieurs espaces verts sont également ouverts au public au sein de la Ville.
L'implantation humaine s'est faite à partir des coteaux de la Seine en raison de la présence de source d'eau provenant des hauteurs boisées de Marsinval et de Brézolles.
Le lavoir de Marsinval construit et en 1880, était destiné aux résidents du hameau. Il a été restauré en 1981.
C'est là que nous la pluie s'est invitée, nous avons sorti nos capes, et ça a duré...
Nous quittons Marsinval par Bois des Bruyères sur le GR1, il pleut...
Petite éclaircie en traversant le joli village de Bures-Morainvillers.
Après le passage sous l'autoroute A13, par les GR1 et 26, en direction de Montamets, le terrain est extrêmement humide et boueux, nous admirons les beaux chevaux de l'écurie Grandpierre, Chemin du Moulin à Vent.
A nouveau sur le GR1-GR26, nous grimpons la côte de Montamets, passons devant le café « Le Val Rose ».
Dans le Bois de Montfaucon, Gérard trouve un énorme cèpe qui ne devait pas faire beaucoup moins d'un kilo !!
A partir de là, la pluie a redoublé, je range mon appareil photo, nous marchons dans la boue parfois glissante ... crottés, mouillés...
A cause de la pluie et du manque de visibilité, notre direction a un peu dévié, et pour ne pas revenir en arrière, Gérard nous propose de terminer la randonnée à Beynes.
En sortant du Bois, non loin du Ru du Russe, la pluie cesse, nous traversons la route, quittons le GR pour un « Chemin Noir » (cher à Sylvain Tesson) à l'orée de la Forêt Départementale des Flambertins.
A cause de la pluie, nous avons cherché un endroit à peu près au sec pour poser nos sacs, finalement, vers 13h15, c'est au lieu dit « Le Fond Baillou » que nous avons trouvé quelques tronc d'arbres.
Pique-nique rapide et humide, nous repartons craignant de nouvelles averses.
Traversée de vergers de pommiers, nous profitons d'un timide rayon de soleil, derrière nous le ciel devient sombre et menaçant...😥😥☔️
Nouvelle averse, cette fois accompagnée de grêle, arrêt technique avant la ferme fortifiée, sur le PR.
Un long chemin tout droit surplombe Crespières, Les Groux, le Vieux Chemin de Maule, puis descente de la côte de Chavoye, La Maladrerie, Les Plantins, Les fourneaux... de là on entend le train de Paris qui quitte la gare de Beynes, une heure d'attente, la gare étant fermée, pas de bistro à des km à la ronde, nous nous installons dans les abris sur les quais.
Nous sommes tous mouillés, frigorifiés, les blagues fusent !!!
Par bonheur, le train arrive à l'heure !
Cliquez sur l'image ci-dessus pour voir le détail de notre parcours :
22,49 km +330m de dénivelé, 05:32:23 de marche, 3,7 km/h.
A bientôt.