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17 Mai 2019
Bonjour,
Dernier jour de notre séjour breton, malgré un ciel blanc et une pluie fine, il n'était pas question de rester sans sortir..
Nous avons exploré la côte à l'est de Perros-Guirec.
Cliquez sur les flèches de droite ou de gauche pour voir les diaporamas et sur les images fixes pour les voir en grand format.
Nos chauffeurs nous ont déposées à Louannec, sur le parking de Kerbalanec, pendant ce temps, Gisèle a fait un cours de Taï Chi à Lucienne et Agnès..
Ils ont déposé une voiture du côté de Port-Blanc, dès leur retour et, toujours par le GR34, nous sommes entrés à l'intérieur des terres par le village de Keresper.
Nous passons devant le phare de Nantouar, construit en 1859-1860.
Il est constitué d'une tourelle cylindrique de 1,6 mètres de diamètre construite en pignon du phare pour recevoir le feu.
Il a été électrifié en 1937 et a été éteint en 1976.
Il semblerait qu'il soit actuellement une habitation privée.
Après Nantouar, le paysage change, nous cheminons entre mer et falaise, passons la plage de Porz-Garo.
A Port l'Epine, un monument constitué de bidons en plastique peints de couleurs vives est posé sur le chemin, peut-être est-ce pour protester contre la pollution de la mer envahie de plastiques ?
La jolie maison est située au le lieu-dit Kériec.
Petit détour dans le petit bois de Kériec.
La Bretagne nous offre beaucoup de fleurs sauvages, dont ce bouquet de Lythrum salicaria, ou Herbe aux coliques🥴merci Pl@ntNet.
Sur la plage de Trestel, une table avec des bancs, nous permettent de poser nos sacs pour notre pique-nique, malgré le temps maussade, nous profitons du magnifique paysage.
Puis nous reprenons notre chemin en passant devant le centre Hélio-Marin de rééducation et de réadaptation fonctionnelles de Trévou-Tréguignec.
Après la plage du Royo, nous cheminons sur des galets entre mer et les marais du Launay.
Protégé par la Plage des Dunes, ce marais abrite une flore spécifique comme l’Oyat (espèce de plante vivace croissant dans les terrains sablonneux).
Cette graminée aux racines traçantes aide la dune à se fixer. Pour éviter de sécher sur pied, l’Oyat enroule sa feuille sur elle-même pour conserver l’humidité de l’air captée pendant la nuit.
Un muret de pierres sèches sépare les terres agricoles de l’estran, limitant ainsi l’érosion des sols et évitant l’envasement de la baie.
Un peu plus loin, nous nous sommes réfugiés sous l'auvent d'une cabine pour enfiler nos capes pour nous protéger de la pluie.
Nous passons la pointe de Crec'h Avel, fasse à l'île des Femmes, et le rocher du Voleur.
Nous avons fait une incursion dans les terres à la recherche de notre voiture qui devait se trouver sur le parking proche, malheureusement, Claude, Gérard et moi sommes allés à sa recherche, sans la trouver.
Finalement, elle était au parking qui se trouve près de la plage où nous avons pique-niqué !!!
Je n'ai pas pu coller les deux cartes, celle du haut représente la première partie du parcours et celle du bas, la deuxième partie.
Cliquez pour les voir en grand format.
Nous avons fait environ 15 km.
A suivre...