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8 Décembre 2016
Bonjour,
Notre programme du jour :
Mercredi 7 décembre.
Animateur Claude.
Lieu : Sur les chemins des vallées et forêts briardes par Boussy-Saint-Antoine, Mandres-les-Roses...
Distance environ 18 km - Allure moyenne - Pique-nique - quelques dénivelées (170m).
Rendez-vous : Gare de Lyon RER D pour Combs-la-Ville.
Retour : Gare de Boissy-Saint-Léger RER A pour Paris.
Cliquez sur les flèches de droite ou de gauche pour voir les diaporamas et sur les images fixes pour les voir en grand format.
La matinée a commencé par un petit couac, certains sont allés prendre le RER au Châtelet et la rame n'est pas passée, elle a commencé son parcours à la gare de Lyon... après un échange par téléphone, quelques minutes d'attente à la gare de Combs-la-ville, nous sommes partis à 27 ...
A la sortie de Combs, nous passons sur une passerelle devant le moulin de Vaux-la-Reine, le long de l'Yerres.
En suivant la rue principale du hameau de la Garenne, un portail-baleine métallique rouillé cache une maisonnette abandonnée...
Traversée de la Varenne-Jarcy, puis nous quittons le GR pour un sentier dans un petit bois le long d'un centre équestre...
Puis nous retrouvons un méandre de l'Yerres dans lequel est bâtie la ville de Boussy-Saint-Antoine.
Jean Dubuffet 1901-1985, était un homme très actif, voyageur, qui a assez rapidement connu un succès international, il avait besoin d’un espace totalement privé, ce fût donc la Closerie et Villa Falbala à Périgny qu'il construisit entre 1971 et 1976.
A l'extérieur il édifia un « jardin » de béton armé stratifié, comprenant une entrée avec marches, un déambulatoire extérieur bordé de murs, l’ensemble peint en blanc strié de bordures noires suivant les arêtes.
À la fin du XVIIème siècle, la ferme s'intègre aux immenses domaines possédés par la noblesse parisienne.
Propriété de François de Thomassin, seigneur de Mandres et de Périgny au début du XVIIIème siècle, elle passe en 1754 entre les mains de Jean Paris de Monmartel, puis, à sa mort en 1766, à son fils Armand Louis Joseph Paris de Monmartel (né en 1748), marquis de Brunoy.
L'excentrique marquis, qui se ruine en cérémonies religieuses, se voit forcé de vendre son bien en 1774 à Monsieur, frère du roi, comte de Provence et futur Louis XVIII, qui lui laissera son appellation pour la postérité.
À l'aube du XIXème siècle, la cour de ferme est entièrement close.
Intégrée en 1813 au domaine de Grosbois par le maréchal Berthier, la ferme de Monsieur en sort en 1920, et ses terres sont en partie loties à partir de 1925.
Achetée par la commune en 1983, sauvegardée, restaurée, elle abrite désormais l'hôtel de ville de Mandres-les-Roses.
(Source Topic-Topos)
Sortie de Mandres-les-Roses par le Domaine de Roseval...
...puis nous longeons l'ancienne voie ferrée...
Nous avons posé nos sacs pour notre pique-nique dans le Bois d'Auteuil, le long du Réveillon, sous-affluent de la Seine par l'Yerres, et du petit étang gelé pour moitié..
Nous quittons le bord du Réveillon pour la forêt Domaniale des Camaldules, la forêt Domaniale de la Grange, sans passer par la forêt de Grobois dont nous apercevons le château au loin, avant d'aborder Boissy-Saint-Léger où nous prenons le RER pour Paris...
Cliquez sur le lien ci-dessus pour voir plus de détails sur notre parcours.
A bientôt....
P.S.: Certains animateurs ou randonneurs m'ont signalé que l'application que j'utilise sur mon smartphone (Runtastic) ne semble pas fiable et que le nombre de km est toujours un peu supérieur à la réalité.
Cette application utilise uniquement un GPS permettant de savoir où on se trouve, où l’on va…
Cela permet de retrouver le tracé effectué sur une carte ainsi que les vitesses, les dénivelés et les distances.
Il peut y avoir des petites erreurs de quelques mètres sur le tracé, ces erreurs de relevés de position GPS peuvent provenir du temps (plus il fait couvert, moins le signal des satellites GPS est bien capté, le passage d'un satellite à l'autre), de l’environnement dans lequel on évolue (dans un sous-bois obscur, entre les hauts murs d’une rue étroite de village ou dans un tunnel passant sous l’autoroute on ne capte quasiment plus de signal GPS ou assez mal) ou de perturbations électro-magnétiques (en passant à côté d’une ligne électrique par exemple).
Tout cela donne des petites imprécisions dans le parcours enregistré allant de quelques mètres à plusieurs dizaines de mètres, avec des conséquences sur les distances, vitesses et dénivelés relevés. Conséquences parfois légères (5 à 10% d’erreur).
Je pense que ces petits désagréments ne portent pas à conséquence, on aime bien voir le tracé du trajet réalisé sur une carte, le nombre de kilomètres parcourus peut ne pas être très précis...