Les Cyclades - Paros - 7/..

Bonjour,

Notre séjour à Paros touche à sa fin, le matin nous préparons nos sacs pour libérer, le studio, nous les laissons à Antonia qui va nous les garder jusqu'àu soir, notre bateau pour Amorgos étant prévu à 22:55, nous avons le temps de passer la journée en promenade.

Comme la veille, le temps est mauvais, beaucoup de vent ...

Nous prenons un bus pour Aliki. Elle a pris son nom du marais salant (en grec: Aliki) qui est situé à la lisière du village.

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À Parikia, c´est l'heure de la sieste, les magasins sont fermés, nous nous promenons et nous arrêtons pour manger une glace, il se met à pleuvoir, nous restons un moment à discuter avec la petite vendeuse de glaces, une jeune native de Paros qui nous explique que pour rien au monde elle ne quitterait son île, elle connaît Athènes, mais elle a tout fait pour revenir à Paros, elle nous fait goûter des glaces dont une au parfum d'une plante endémique de l'île de Chios au parfum Mastic, un peu spécial...

Ensuite on erre dans la ville sans but précis, il pleut assez fort et il y a beaucoup de vent, les ferrys arrivent avec plus d'une heure de retard.

On prend un café dans un bar où on reste plus d'une heure.

Gérard va chercher nos bagages qu'Antonia devait nous apporter au port, il y a un malentendu, elle était déjà au port pour récupérer des clients, ils se sont croisés, enfin retrouvés, et nous avons récupéré nos sacs..

On a dîné dans une taverne et vers 22:30, nous sommes allés au port pour prendre notre bateau prévu pour 22:55. Peu de monde dans le port, juste un couple d'anglais qui était partis d'Angleterre le matin même.

Je vais me renseigner à la capitainerie et on m'annonce que notre ferry à au moins une heure de retard à cause de la tempête. L'anglaise est morte de fatigue, oh my god !!

Le bateau arrivera à minuit, et il prendra encore du retard, ça bouge pas mal, il y a des gens malades à bord, les stewards et hôtesses se promènent avec des sacs vomitoires, nous supportons assez bien malgré la fatigue.

Nous arriverons à Amorgos à 4:00 du matin.. Peu de taxi, je fais du forcing auprès d'un couple d'anglais qui allaient à Chora, sur notre chemin, le chauffeur me dit de monter, le bonhomme n'est pas très content, mais qu'importe...

On laisse les anglais et on continue notre route jusqu'à Katapola, il est 5:00 du matin, le chauffeur demande quand même 25€, il a fait une bonne affaire ! Il nous laisse au port au bas d'un escalier en nous disant que c'était là ... On monte des escaliers dans la nuit noire, heureusement que Gérard avait une lampe de poche... Finalement on a vu une lumière et encore une escalier à monter, on frappe à une porte ouverte, on entre, on voit arriver une dame ensommeillée, visiblement elle était couchée, elle nous accompagne à notre studio. Nous nous couchons harassés de fatigue…

A suivre Amorgos...